Mme Véronique ANGER-de FRIBERG 05/09/2025
Chère Marie-Thérèse, J'ai appris le décès de ta maman et je tenais à te transmettre mes sincères condoléances, ainsi qu'à Didier et toute votre famille. Je pensais à toi il n'y a pas si longtemps alors que je discutais de l'école "de mon temps" avec des neveux et nièces de mon mari. Je réalise que ce monde d'avant s'efface aussi lorsque nos vieux parents disparaissent. C'est dans l'ordre des choses bien sûr, et si 90 ans est un bel âge, cela n'empêche pas le chagrin. 90 ans c'est aussi l'assurance de se remémorer avec ses proches une multitude d'anecdotes et de souvenirs qui permettront à tout ce que votre maman incarnait de lui survivre. Jean d'Ormesson a cette très jolie phrase que je me permets de citer ici : "Il y a quelque chose de plus fort que la mort. C'est la présence des absents dans la mémoire des vivants." Avec mon affectueux souvenir, Véronique
